Spécialiste de la maladie de Lyme & endométriose

spécialiste maladie de lyme​

Contact Alina Onesim

Être le capitaine de son propre navire de santé est la clé pour surmonter les tempêtes de la maladie.

Qui suis-je ?

Ancienne malade de Lyme chronique et d’endométriose, j’ai réussi à guérir grâce aux plantes.

Je suis Alina Onesim, naturopathe spécialiste de la maladie de Lyme et de l'endométriose.

Mon parcours en tant que malade

Mon Lyme et mon endométriose

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Après avoir connu plusieurs épisodes de choc émotionnel et physique dans ma vie privée, j’ai commencé à développer des symptômes de douleurs pelviennes atroces à chaque cycle menstruel. Je me suis retrouvée quasiment tous les mois, entre mes 24 et mes 32 ans, aux urgences de l’hôpital quand je pouvais m’y rendre par moi-même, ou transportée par les brancardiers qui se rendaient chez moi, lorsque les douleurs me rendaient complètement hors service.

A chaque fois j’entendais les mêmes retours de la part du personnel médical : « tout va bien, vos analyses sont bonnes » ou « prenez du Paracetamol, et si ça ne suffit pas, un anti-inflammatoire, ça va finir par passer » ou encore « c’est normal d’avoir mal quand on a ses règles ». Je pensais donc que je devais prendre mon mal en patience. On avait fini par me convaincre que c’était normal que je souffre, et j’espérais juste tous les mois que le jour fatidique, la douleur serait supportable.

Mes douleurs se sont intensifiées après avoir mis au monde mes enfants. Les douleurs qui se cantonnaient avant à la zone pelvienne et qui duraient 3 jours, ont commencé petit à petit à déborder sur quasiment tout le mois, au gré de mon cycle qui devenait plus anarchique avec l’arrivée de la pré-ménopause.

Puis, petit à petit tout mon corps, tous mes systèmes et tous mes organes ont commencé à devenir douloureux…

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Dans l’ordre de l’arrivée des symptômes : des vertiges, un état de brouillard cérébral qui m’empêche de trouver mes mots tout en étant consciente de mon déficit langagier, des douleurs articulaires au niveau des hanches, dépression et anxiété : je fais des cauchemars toutes les nuits…
 
Puis, suite au déménagement de maison en appartement (précision dont vous comprendrez l’importance plus loin), mon état se dégrade encore : ma tête me paraît si lourde, elle n’est plus supportée par ma colonne vertébrale : je dois m’appuyer sur le mobilier de la cuisine pour pouvoir faire la vaisselle ou la cuisine, je dois m’appuyer sur les murs pour avancer, car mes vertiges m’empêchent d’aller droit, mes lombaires et mes sacro-iliaques me font si mal que je n’arrive plus à porter les courses. J’ai des douleurs lancinantes qui partent du dos vers la cuisse : je pense avoir une sciatique. Le énième rhumatologue que je vois depuis le début de mes symptômes me met sous anti-inflammatoires, que je ne supporte pas et que j’arrête au bout de deux prises.
 
Mon état continue à se dégrader : mes jambes ne sont qu’une douleur, des orteils jusqu’en haut des cuisses. La nuit elles m’empêchent de dormir, j’ai tellement mal que  je ne peux pas rester allongée : la seule chose qui me soulage c’est de marcher.

Puis, presqu’en même temps arrivent des douleurs terribles au bras gauche, au niveau des muscles : je ressens comme des coups de poignard qui me sont plantés de façon continue, dans le bras, avec des décharges électriques et une sensation de chaleur : les muscles de mon bras s’atrophient de semaine en semaine.

Des excroissances osseuses au-dessus du poignet de la main gauche, puis au-dessus de la main droite arrivent à quelques semaines d’intervalle. C’est extrêmement douloureux et je dois mettre des attelles des deux côtés pour pouvoir vaquer à mes occupations familiales. Elles sont toujours là, aujourd’hui, mais elles ne me font plus mal.

Je commence aussi à avoir des intolérances alimentaires que je n’avais pas avant : je ne digère plus le gluten, les graisses et les produits laitiers. Puis, dans une deuxième phase, plus rien ne passe : mon estomac ne supporte plus le moindre aliment, qu’il soit cru ou cuit.

Je dois accepter d’avoir mal en permanence pour ne pas dépérir par inanition. Je perds malgré tout 7 kilos en 4 mois.

Les semaines suivantes mon corps va connaître aussi des problématiques gynécologiques, urinaires et dermatologiques, que les traitements allopathiques prescrits par les médecins vont faire flamber encore plus et que je dois arrêter.

Puis, un soir, sans crier gare, mes yeux se mettent à ne plus voir : je perds l’équilibre et à partir de là pendant plusieurs mois mes yeux seront brûlants et la vision troublée.

Au hasard d’une rencontre avec une radiologue, j’apprends que j’ai un kyste endométriosique sur un ovaire. Cela expliquerait, selon la médecin, mes douleurs pelviennes. Soit. Mais les douleurs partout dans le corps ?

Je suis donc mise par cette radiologue sur la piste de l’endométriose, et je vais faire des recherches très poussées pour en trouver les causes et des traitements possibles.

Pour ce qui est des autres douleurs partout dans le corps, je commence à enchaîner des rdv médicaux qui se soldent tous désespérément par la même rengaine : « vous n’avez rien, vos analyses sont parfaites ».

Les 25 médecins et thérapeutes toutes spécialités confondues (généraliste, phlébologue, rhumatologue, médecin du sport, ostéopathe, gastro-entérologue, ophtalmologue, neurologue, ORL, gynécologue…) que je rencontre me font passer une batterie d’examens : prises de sang, radios, scanners, prélèvements qui n’aboutissent à AUCUNE réponse, à AUCUNE explication de ces douleurs partout dans le corps.

Je suis désespérée : je me vois mourir à petit feu, alors que je n’ai que 46 ans et que mes enfants, tout petits encore, ont besoin de moi.

Je passe des heures et des heures à faire des recherches sur internet, à aller sur des forums, à contacter des gens ayant témoigné de symptômes similaires aux miens et par élimination j’en arrive à retenir trois maladies possibles, correspondant à ma symptomatologie : le Lupus, la Sclérose en plaques et la maladie de Lyme.  Les deux premières sont des maladies auto-immunes que l’on soigne bien en France, mais ce sont des maladies très lourdes et handicapantes. Je demande à mon médecin généraliste de me prescrire des tests de détection de ces maladies. Je prie lors de mes nuits d’insomnie pour que ce ne soit pas ça et en même temps j’ai besoin d’un diagnostic, quel qu’il soit. Les résultats reviennent négatifs pour les 2 maladies. Il me reste à exploiter la dernière piste : la maladie de Lyme. Je suis confuse, car mes symptômes sont, tous, en lien avec ce que j’ai découvert comme symptomatologie du Lyme. Mais il y a un grand « mais » : de ce que j’apprends sur les sites officiels français, la maladie de Lyme n’est reconnue en France que sous sa forme aigüe et active. Concrètement : si vous vous êtes fait piquer par une tique, que vous développez ce qu’on appelle un « érythème migrant » (rougeur sous forme d’auréole autour du site de la piqûre) et /ou des douleurs suite à la piqûre ET que votre test sanguin Elisa, prescrit par les autorités sanitaires est positif, vous avez droit à 3 semaines d’antibiothérapie, laquelle est censée vous guérir. Or, moi, je n’ai aucun souvenir de m’être fait piquer par une tique et mon test Elisa ne revient que faiblement positif, suivi d’un test Western Blot négatif.

Le centre Lyme de Villeneuve St Georges où je rencontre plusieurs médecins et je passe à nouveau un scanner et des radios me renvoie chez moi, bredouille. Je n’ai droit à aucun traitement et les 2 médecins rencontrés là-bas me disent clairement que je n’ai pas la maladie de Lyme. Je comprends d’après leurs « messes basses » que seuls les tests ELISA et Western Blot, reconnus par les autorités sanitaires françaises (mais qui ne sont pas fiables, voir l’article consacré à ce sujet sur mon Blog) sont des pièces à conviction. Les signes cliniques que je présente et qui recouvrent, j’apprendrai plus tard, la quasi-totalité du questionnaire de Richard Horowitz (sur lequel se basent les spécialistes de la maladie de Lyme pour aiguiller avec certitude leurs consultants vers la maladie de Lyme, voir l’article consacré à ce sujet sur mon Blog), ces 2 médecins s’en moquent complètement…

De retour chez moi je suis déterminée à continuer mes recherches. Je vais cette fois sur des sites anglophones et j’apprends que la maladie de Lyme a plusieurs stades et que moi, d’après mes symptômes, j’en suis au dernier stade de la maladie, qui s’est maintenant bien installée dans tout mon corps, a colonisé tous mes systèmes et tous mes organes.

J’apprends que la maladie de Lyme est bien connue et bien soignée aux Etats Unis et qu’en Europe, le seul pays qui la reconnait sous sa forme chronique est l’Allemagne.

Je n’ai ni l’énergie ni les moyens d’entreprendre de tels voyages et je dois trouver un moyen de me soigner en France, malgré l’omerta sur la maladie, de la part des autorités sanitaires françaises.

Une amie me met sur la piste d’un monsieur russe qui pratique la biorésonance à Paris et j’ai la chance de trouver un rdv rapidement. Et là, enfin, j’apprends ce dont je me doutais déjà : j’ai une borréliose avec ses co-infections : Bartonella, Babesia, Mycoplasma et également une prolifération de Chlamydia et de Candida Albican et les virus EBV et Hélicobacter Pylori réactivés par la maladie. Toutes ces infections froides et les virus, parasites et champignons présents dans mon organisme expliquent la myriade de symptômes que je connais depuis quelques mois et qui me rongent de l’intérieur.

La césarienne que j’avais subie pour mettre mes enfants au monde, et lors de laquelle on m’avait transfusé tout mon sang, m’avait provoqué un tel choc physique et psychologique que la borréliose et ses co-infections avaient fait surface, en profitant de la baisse de mon système immunitaire. Le déménagement en appartement avait fait empirer mon état, du fait d’une pollution électro-magnétique environnante  importante (nombreux boîtiers wifi dans le voisinage) que je n’avais pas eue en maison (voir l’article consacré à ce sujet sur mon Blog).

Comment avais-je contracté Lyme ? Etait-ce durant mon enfance suite à une piqure d’insecte alors que je gambadais dans les champs et forêts à la belle saison ? Etait-ce dû à la transfusion de plusieurs poches de sang lors de ma césarienne ?… Voir l’article consacré à ce sujet sur mon Blog.

Ayant commencé à m’intéresser au monde des plantes, je suis devenue de plus en plus dubitative quant à la façon d’appréhender mes souffrances par la médecine conventionnelle. Je sentais qu’elle ne pouvait plus rien pour moi et qu’il fallait que j’explore d’autres voies.

De toute manière, ayant pris beaucoup trop d’antibiotiques et d’anti-inflammatoires par le passé j’avais fini par y devenir allergique. Même la pilule contraceptive qu’on m’avait conseillée pour mettre mes ovaires au repos et soigner mon endométriose, je ne la supportais pas.

Il me fallait donc absolument trouver une issue ailleurs : la voie des plantes m’est apparue comme étant ma seule chance de survie et de guérison.

A force de tâtonnements, d’essais de différentes plantes sur moi-même, j’ai trouvé un protocole qui me convenait et que j’ai ajusté régulièrement jusqu’au bout. En rajoutant une plante par ci, en enlevant une autre par là.

En parallèle, les lectures des livres de quelques médecins et thérapeutes dans les deux domaines : endométriose et Lyme (voir note 1 ), ainsi que des consultations à l’étranger et par visio-conférence, m’ont aidée à parfaire ce protocole.

Je commence donc à me soigner grâce à des plantes de la pharmacopée occidentale, asiatique et africaine. Trois semaines suffisent pour que je retrouve un état meilleur et l’espoir qu’un jour je recouvrerai l’ensemble des fonctions de mon corps.

Aujourd’hui, je suis quasi-asymptomatique et cela grâce exclusivement aux plantes. Le seul symptôme de la maladie de Lyme qui persiste encore est la chaleur, le feu intérieur. Je suis actuellement un dernier protocole afin d’éradiquer ce dernier symptôme.

Je n’ai plus pris aucun antibiotique, aucun anti-inflammatoire, aucun traitement chimique depuis plusieurs années. Moi, qui survivais aux douleurs de mon endométriose grâce à des quantités effarantes de paracétamol et à des anti-inflammatoires puissants, j’ai enfin trouvé un panel de plantes extrêmement efficaces pour contrer la maladie. Moi, qui à 25 ans étais incapable de passer une journée entière sans faire une sieste, tellement la fatigue me dévorait, j’ai, plusieurs décennies plus tard, une énergie que je n’ai jamais eue auparavant.

  • Unlocking Lyme: Myths, Truths, and Practical Solutions for Chronic Lyme Disease by Dr. William Rawls

  • Cure Unknown: Inside the Lyme Epidemic by Pamela Weintraub

  • Lyme Disease: The Cause, the Cure, the Controversy by Alan G. Barbour and Sandra F. Hass

  • Conquering Lyme Disease: Science Bridges the Great Divide by Brian A. Fallon and Jennifer Sotsky

  • Healing Lyme Disease Coinfections by Stephen Buhner

  • Beyond Lyme Disease: Healing the Underlying Causes of Chronic Illness in People with Borreliosis and Co-Infections by Connie Strasheim

  • Soigner Lyme et les maladies chroniques inexpliquées de Dr Richard Horowitz

  • La Vérité sur la maladie de Lyme: Infections cachées, vies brisées, vers une nouvelle médecine, de Dr Christian Perronne

  • The Endometriosis Sourcebook by Mary Lou Ballweg

  • Endometriosis: A Key to Healing Through Nutrition by Dian Shepperson Mills and Michael Vernon

  • Stop Endometriosis and Pelvic Pain by Andrew S. Cook and Robert Franklin

  • Living Well with Endometriosis: What Your Doctor Doesn’t Tell You… That You Need to Know by Kerry-Ann Morris and Andrea Rapkin

Découverte du lien entre Lyme et endométriose

Durant le parcours pour soigner mon Lyme chronique, j’ai découvert grâce au Dr Milbert, une thérapeute que j’ai consultée en Suisse, disciple du Dr Clark (voir note 2), que l’endométriose pouvait être causée par une co-infection de Lyme, la chlamydia trachomatis. C’est une chose peu connue, mais que Dr Clark et d’autres chercheurs ont pu démontrer dans leurs ouvrages (voir note 3).

L’endométriose a gâché toutes les années de ma jeunesse et, si aujourd’hui j’en suis débarrassée, c’est grâce aux plantes et à un suivi rigoureux de mon régime  alimentaire et de mon hygiène de vie. Pour éviter que l’endométriose ne revienne, certaines plantes me sont d’une grande utilité en amont et pendant les moments cruciaux du cycle féminin.

Guérison et début d’une vocation comme thérapeute

Le combat a été long et il m’a demandé de la force et de la persévérance, mais aujourd’hui je suis guérie de l’endométriose et quasiment guérie de la maladie de Lyme. Sans avoir eu recours pour cela aux antibiotiques ou à une quelconque molécule chimique.

Après avoir recouvert ma santé, une évidence s’est imposée à moi, celle de ne pas oublier que :

  • de nombreuses personnes se font contaminer tous les ans (voir note 4) par des insectes piqueurs porteurs de borrélias et de leurs co-infections et développent pour certains, tôt ou tard, la maladie de Lyme. Sans parler de toutes celles qui se font contaminer par transfusion sanguine et par voie sexuelle (voir l’article consacré à ce sujet sur mon Blog).

  • environ 1 femme sur 10 en âge de procréer est atteinte d’endométriose en France (voir note 5).

Dans mon travail de recherche sur la maladie de Lyme et l’endométriose, j’ai approfondi mes connaissances concernant le lien qu’il peut y avoir entre les deux maladies et je sais que ces connaissances sont précieuses aux malades.

Ces malades, je le sais, car j’ai connu la même errance médicale pendant plusieurs années, sont renvoyés de médecin en médecin et certains n’ont plus le courage de se battre et finissent sous anti-dépresseurs, car on les convainc que leur problème de santé n’est finalement qu’un psychisme fragile…

J’ai appris lors de mes deux formations en Coaching Lyme (voir plus bas), à quel point les médecins sont démunis face à une patientèle qui arrive avec des symptômes de Lyme chronique. Démunis, oui, car le Lyme chronique n’est à ce jour pas reconnu en France et par conséquent, les personnels de santé ne sont pas formés à en reconnaître les symptômes et à les traiter.

Ce que les médecins apprennent c’est reconnaître un érythème migrant qui est le signe d’une borréliose aigue, laquelle se soigne très bien, si c’est fait à temps, par des antibiotiques. Mais c’est le seul cas qu’ils sont à même de traiter, et tous les autres cas de Lyme, majoritaires, passent « à la trappe ».

Les tests sanguins qui sont proposés par la médecine conventionnelle pour détecter la maladie de Lyme sont les tests ELISA et Western Blot et ils concernent uniquement la maladie dans sa phase première. De plus, ces tests ne sont malheureusement pas fiables (voir l’article consacré à ce sujet sur mon Blog).

Pour ce qui est de l’endométriose, j’ai appris grâce à ma formation en naturopathie (voir plus bas) et grâce à mes nombreuses recherches sur le sujet, des informations extrêmement intéressantes et peu connues, y compris par les professionnels de santé classique. Je suis aujourd’hui en mesure de proposer des solutions naturelles redoutablement efficaces pour soigner cette maladie.

Il m’est apparu comme un devoir de faire quelque chose pour tous ces gens dont je connais parfaitement la souffrance : les aider à reprendre leurs vies en mains, leur donner les outils, les guider, les acheminer vers l’issue du tunnel.

 Car oui, le Lyme chronique tout comme l’endométriose peuvent se soigner efficacement grâce aux plantes !

  •  La façon la plus efficace de soigner le Lyme chronique est d’avoir recours aux plantes (voir encart ci-contre « Pourquoi les plantes sont les meilleures alliées en cas de Lyme chronique ?« ) et mon cas personnel est emblématique : tout le long de ma maladie je n’ai pris aucun antibiotique, mais seulement des plantes. Je suis en mesure de proposer un protocole personnalisé basé exclusivement sur les plantes,dans le respect du corps, en fonction du terrain de chacun, de ses points forts et de ses faiblesses.
  • Une façon très efficace de soigner l’endométriose est également la voie des plantes, selon un protocole personnalisé qui prend en considération le terrain et les différentes caractéristiques de chacune.

Pourquoi les plantes sont les meilleures alliées en cas de Lyme chronique ?

Les borrelies sont des bactéries qui nécessitent des traitements antiinfectieux pour les combattre. Elles se divisent plus lentement que la plupart des autres bactéries, ce qui les rend difficiles à éliminer. En fait, elles se divisent toutes les 12 à 24 heures en laboratoire (in vitro) et toutes les 72 heures dans le corps (in vivo), ce qui est beaucoup plus lent que les autres bactéries qui se divisent toutes les 20 minutes.

En plus, si elles ne se sentent pas à l’aise dans leur environnement (comme en présence d’antibiotiques), elles peuvent entrer dans une forme dormante et rester sans se diviser pendant des années. Leur cycle de reproduction est également très long, avec une reproduction qui se produit généralement une fois tous les 28 jours.

Les antibiotiques sont utilisés pour attaquer les bactéries en cours de division et de reproduction. Cependant, chez les borrelies, pour les éliminer complètement il faudrait en théorie prendre quotidiennement des antibiotiques pendant au moins un an et demi pour obtenir le même résultat que chez d’autres bactéries qui peuvent être éliminées en une ou deux semaines.

Mais prendre des antibiotiques pendant une si longue période peut aussi causer des problèmes de santé.

C’est pour cela que les plantes et produits naturels anti-infectieux sont bien supérieurs de par leurs propriétés antiseptiques plus larges que les antibiotiques qui eux, ne visent que les bactéries et pas leurs co-infections.

Ma formation

Ecole Lyonnaise de Plantes Médicinales & des Savoirs Naturels

J’ai commencé à me former à ce monde des plantes en suivant une formation en herboristerie avec l’Ecole Lyonnaise de Plantes Médicinales & des Savoirs Naturels.

Formation en Coaching Lyme

Un an et demi plus tard, je me suis vue proposer par Adam Nour, le principal thérapeute qui me suivait, une formation en Coaching Lyme. Les retours très positifs du formateur tout le long de la formation m’ont convaincue que je pouvais être à mon tour utile aux malades de Lyme.

Accompagnement de l’endométriose

Je me suis également spécialisée dans l’accompagnement de l’endométriose par le biais d’une Formation en Naturopathie avec l’organisme Spiri’Vie Formation.

Plantes médicinales et maladie de Lyme

Plus récemment, j’ai continué à me spécialiser avec une nouvelle formation "Plantes médicinales et maladie de Lyme" au Canada avec Anne Vastel.

Le protocole que j’ai suivi pour me soigner

Pour soigner ma maladie de Lyme

Pour soigner mon Lyme, j’ai commencé par un nettoyage en profondeur de mes intestins : j’ai utilisé de l’argile et du charbon activé, en alternance.

Pour les douleurs au niveau de mon système digestif qui était très endommagé, j’ai utilisé avec beaucoup de succès la camomille allemande, le calendula et le plantain, ainsi que la guimauve, l’orme rouge et le lithothamne.

Pour désengorger mon foie et mes reins encrassés par les toxines de ma maladie et d’un environnement toxique (lequel est le lot de tout un chacun malheureusement…) j’ai alterné entre plusieurs plantes, en les utilisant en synergie car cela renforce leurs effets : la fumeterre, le romarin, le curcuma, le chardon marie ; le pissenlit, l’ortie, la verge d’or.

Afin de nettoyer ma lymphe, car j’avais beaucoup de ganglions enflés et douloureux au niveau du cou et de l’aine, je me suis servie de la céanothe d’amérique et du trèfle rouge.

Pour désenflammer mon système musculo-squelettique, le saule blanc et la reine des prés m’ont été très utiles, ainsi que la renouée du japon, les bourgeons de cassis et le curcuma synergisé avec le gingembre et le poivre.

Pour apaiser mon système nerveux central et périphérique qui étaient fortement impactés, j’ai utilisé le millepertuis, la mélisse, la scutellaire, le gou teng, et le gotu kola.

Afin de réduire mes troubles cognitifs et la sensation de brouillard cérébral, m’ont été d’une grande aide le burbur/pinella, le persil, le bacopa, l’algue chlorella.

Ma tachycardie et mon essoufflement ont été soignés avec beaucoup de succès par l’agripaume.

Mes nombreuses et sévères co-infections, je les ai traitées avec des « cocktails » à base de plantes telles sida acuta, houttuynia, cryptolepis, isatis, échinacea purpurea, clou de girofle, noyer noir, feuille d’olivier, artemisia, pau d’arco, griffe du chat, andrographis, neem, propolis, extrait de pépin de pamplemousse et le lichen usnée.

Et enfin, mes borrélias ont été mises à mal par une très longue cure avec la cardère, la griffe du chat, l’artemisia, la samento et le banderol, en synergie avec quelques-unes des plantes citées plus haut et qui agissent sur les co-infections et les borrelias à la fois.

Pour soigner mon endométriose

Les plantes qui m’ont énormément aidée pour contrer l’endométriose :

  • l’achillée millefeuille (régulateur hormonal favorisant la production de progestérone et inhibiteur de la production d’œstrogènes), le gattilier (présente les mêmes propriétés que l’achillée),

  • l’onagre (ses acides gras de type oméga-6, dont l’acide gamma-linolénique réduisent l’inflammation),

  • l’alchemille (freine les saignements et permet aussi de réguler les éventuels saignements entre les cycles),

  • le chardon marie (permet l’inactivation des œstrogènes excessifs) et l’agripaume (utilisée pour son effet spasmolytique).

Pourquoi Me Consulter ?

Empathie et Compréhension Profonde

Mon propre parcours de guérison me permet de comprendre les défis des patients, de l'errance médicale au manque de soutien. Mon approche repose sur l’écoute, l’empathie et une compréhension véritable des douleurs et des symptômes liés aux maladies chroniques. Chaque patient bénéficie d'une attention personnalisée, adaptée à son parcours.

Expertise pour la Maladie de Lyme et l’Endométriose

En tant que naturopathe en Région parisienne, spécialisée dans la maladie de Lyme et l’endométriose, j’offre des solutions naturelles et individualisées pour aider les patients à apaiser leurs symptômes. Mes années d’expérience m’ont permis de développer des protocoles précis, basés sur les besoins spécifiques de chacun et en harmonie avec ses attentes.

Approche Pédagogique et Partage de Connaissances

Ancienne enseignante, j’apporte à ma pratique une dimension pédagogique. Je mets un point d'honneur à expliquer les protocoles de soin de façon claire pour que chaque patient comprenne le fonctionnement de la naturopathie et les étapes de sa guérison. Mon objectif est de permettre à chacun de devenir acteur de sa santé.

flower-heart

Accompagnement Personnalisé et Suivi Régulier

Chaque consultant est unique, et je veille à offrir un accompagnement personnalisé en fonction de ses besoins. Que vous souffriez de Lyme, d'endométriose, ou d'autres déséquilibres, je propose des protocoles naturels qui respectent le corps et le bien-être global. Mon suivi comprend des conseils en phytothérapie, des recommandations nutritionnelles et des techniques d'équilibre émotionnel pour une approche complète.

Ma Méthode

.01

Consultations personnalisées
Lors du premier rendez-vous et des suivis réguliers, en cabinet ou à distance.

.02

Protocoles naturels adaptés
Recommandations de plantes, huiles essentielles et autres remèdes naturels ciblés pour soulager les symptômes.

.03

Coaching continu
Suivi disponible 7 jours sur 7 pour répondre aux questions et ajuster les recommandations.

Naturopathe Paris Alina Onesim

Pourquoi Choisir la Naturopathie pour la Maladie de Lyme et l’Endométriose ?spécialiste maladie de lyme​

La naturopathie représente une alternative douce et efficace aux traitements traditionnels, notamment pour les maladies chroniques. Elle agit directement sur les causes sous-jacentes, en renforçant le système immunitaire et en respectant l’équilibre naturel du corps. Dans mon cabinet, ou à distance je vous propose des solutions qui vous aident à reprendre les rênes de votre santé sans effets indésirables.

Pour celles et ceux souffrant de Lyme chronique et d’endométriose, j’offre un accompagnement personnalisé, fondé sur des années d’expérience personnelle et professionnelle. Mon objectif est de fournir un soutien durable qui répond aux besoins uniques de chaque patient.spécialiste maladie de lyme​

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